Mais oui, vous avez bien lu !
Si plusieurs d'entre nous ont déjà vu des Traviatas traitées et maltraitées de différentes manières… là, Arte nous promet le mardi 30 septembre à 20 heures en matière de lyrique, du jamais vu et du jamais entendu !
La mise en scène d’Adrian Marthaler, - un réalisateur, compositeur, acteur suisse, (à ne surtout pas confondre avec Christoph Marthaler, infiniment plus connu) – se déroulera au beau milieu de la gare et de ses voyageurs !
Avec une bonne distribution chantante, (Eva Mei : Violetta Valéry, Vittorio Grigolo : Alfredo Germont, Katharina Peetz : Flora Bervoix, Liuba Chuchrova : Amina, Angelo Veccia : Giorgio Germont) Paolo Carignani dirigera l’Orchestre et le Chœur de l’Opéra de Zurich.
Transposés dans cet univers ferroviaire si particulier, on verra les personnages de la Traviata évoluer parmi les passants, attendre devant un guichet, se propulser dans les innombrables commerces de la gare, pousser la porte d’une pharmacie, tandis que les trains continueront à effectuer leurs départs et arrivées.
Le prisme télévisuel suffira t'il à donner aux lyricophiles une cuvée satisfaisante ? Espérons que le bruit des trains ne couvrira ni chanteurs ni orchestre…
Si plusieurs d'entre nous ont déjà vu des Traviatas traitées et maltraitées de différentes manières… là, Arte nous promet le mardi 30 septembre à 20 heures en matière de lyrique, du jamais vu et du jamais entendu !
La mise en scène d’Adrian Marthaler, - un réalisateur, compositeur, acteur suisse, (à ne surtout pas confondre avec Christoph Marthaler, infiniment plus connu) – se déroulera au beau milieu de la gare et de ses voyageurs !
Avec une bonne distribution chantante, (Eva Mei : Violetta Valéry, Vittorio Grigolo : Alfredo Germont, Katharina Peetz : Flora Bervoix, Liuba Chuchrova : Amina, Angelo Veccia : Giorgio Germont) Paolo Carignani dirigera l’Orchestre et le Chœur de l’Opéra de Zurich.
Transposés dans cet univers ferroviaire si particulier, on verra les personnages de la Traviata évoluer parmi les passants, attendre devant un guichet, se propulser dans les innombrables commerces de la gare, pousser la porte d’une pharmacie, tandis que les trains continueront à effectuer leurs départs et arrivées.
Le prisme télévisuel suffira t'il à donner aux lyricophiles une cuvée satisfaisante ? Espérons que le bruit des trains ne couvrira ni chanteurs ni orchestre…
XIAN
" Der Zeit Ihre Kunst ; Der Kunst Ihre Freiheit "
" Der Zeit Ihre Kunst ; Der Kunst Ihre Freiheit "